Plus que 58 jours…
J’ai pogné le 7 mois cette semaine. Oh ouais. Voici l’update de grossesse au stade « ballon de basketball ».
> J’ai recommencé à travailler au bureau, grâce aux lifts de Valérie. Joie, soulagement et délinquance (parce que je suis encore en « arrêt de travail » pour deux semaines).
> Nous avons terminé les cours prénataux du CLSC et je suis contente d’y avoir assisté. J’ai appris plein d’affaires et ça aide à se faire une idée générale de ce qui s’en vient. Bien sûr que j’aurai tout oublié dans le feu de l’action, mais au moins, je me sens un peu moins newbie. Pour une première grossesse et pour engager des conversations avec son chum, ça vaut la peine.
> La semaine passée, la peau du ventre me piquait tellement que je me badigeonneait de crème deux ou trois fois par jour: « La peau de votre ventre s’étire et peut vous picoter : c’est tout à fait normal. » (via Pampers) J’ai trouvé une solution: la glycérodermine! J’en mets une bonne couche le soir et hop! Pu de démangeaisons et une bédaine douce douce.
> Mon nombril n’a toujours pas poppé.
> Je sens que je suis à quelques semaines d’être tannée. Je suis lourde, je suis volumineuse, je dors un peu moins bien, j’ai droit à des coups de pieds constants dans les côtes. J’ai encore du fun mais je comprends maintenant l’impatience et le ras-le-bol qui vient vers la fin.
> Alors que je vivais un moment assez émotionnel et difficile, Jonathan m’a offert le plus cadeau qui soit: le bedonnant Buddy! Mon époux m’a dit: il a une grosse bédaine comme toi et tu peux lui raconter n’importe quoi. Le sourire béat de mon monstre me fait du bien et je lui flatte sa tête en polar plusieurs fois par jour. Je l’aime d’amour!
> Nous avons commencé à vider le bureau pour installer la chambre du bébé. Ça avance lentement, mais sûrement!
> Alors que le temps file, notre attention se concentre de plus en plus sur le bébé et les préparatifs pour l’accueillir. En quelques semaines, le changement de focus s’est effectué naturellement et la venue de ce nouvel être humain devient de plus en plus concrète. J’ai plus de rendez-vous chez le médecin, le baby shower s’en vient, notre appartement s’adapte…
> Nous n’avons toujours pas appelé de garderies.
> Même s’il fait moins mille, j’ai chaud.