Ma fête des mères

9 mai 2010 | 7 Comments

Aujourd’hui, c’est ma première fête des mères! On va me célébrer une fois de plus par année! Lalalilalère!

Et pour souligner l’occasion, j’ai eu droit au plus beau cadeau. Ça s’est passé vers cinq heures du matin, dans la nuit de vendredi à samedi. Je venais d’allaiter, la petite s’endormait tranquillement sur moi et j’avais une folle fringale nocturne. D’une main je tenais Alice sur ma poitrine, de l’autre je mangeais de la compote. C’est donc debout en bobettes au milieu de ma cuisine, éclairée par le néon sous les armoires, que j’ai eu pour la première fois une illumination maternelle.

J’aime cet enfant plus que tout au monde.

Un mois, jour pour jour, après sa naissance, l’attachement indéfectible pour ma fille s’est enfin installé dans mon coeur de nouvelle mère. Yep. Ça, ça mérite d’être célébré!

Comments

Phébée 9 mai 2010 at 19:32

Je souris

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Perruche 9 mai 2010 at 20:20

Woooooow!!!! C’est vraiment le plus beau cadeau!
Les nouvelles mamans me donnent envie de devenir maman aussi…

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Mélanie 10 mai 2010 at 11:10

Je me souviens très exactement de ce moment aussi (mais c’était pas en bobettes dans la cuisine).
Après ça, la vie n’est plus jamais la même.

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Wala 10 mai 2010 at 20:35

Ici, après une nuit infernale de coliques-gaz-éveil-chignage à ne pas dormir, je me suis finalement extirpée du lit. Fête des mères, yeah right! J’ai déposé bébé à côté de moi le temps de lire mes courriels du matin. Une minute à peine et il chignait déjà. Vraiment pas une bonne journée pour lui! Cernée, poquée et un peu exaspérée, je l’ai pris et l’ai déposé nonchalamment sur mes genoux. Et c’est ce moment qu’il a choisit pour me regarder droit dans les yeux et me faire un grand sourire. Puis il a rit! Et sourit à nouveau, et rit, et s’est mis à me jaser ça comme jamais!

Sont cutes hein!

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Melissa Maya 13 mai 2010 at 13:11

Short and sweet. Et puissant.

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Sébastien 3 août 2010 at 11:41

C’est la première fois que je vois chez quelqu’un d’autre l’apparition de cette soudaine (et vive) impression de: « Là là, à partir de ce moment précis, on ne pourrait plus me l’enlever ».
Bien que pour le papa, cette révélation se produise (habituellement?) plus tard que pour la maman, ce moment est tout aussi poignant. « Gênant », aussi, puisqu’on se doit de reconnaitre qu’avant ce moment, s’il avait existé, le comptoir des retours de l’hôpital aurait sûrement reçu notre visite.

Loin de moi l’intention de vouloir faire un « concours de pipi » (activité typiquement (exclusivement?) masculine de vérifier qui peut pisser le plus loin), mais lorsque cette révélation se produit pour le deuxième enfant, c’est une vraie bombe. Ma belle-mère le dit d’une belle façon: « L’amour envers nos enfants, ce n’est pas multiplié (par leur nombre), c’est exponentiel. »

Seb, (fier) papa de deux ptits blonds dont le coeur n’en revient toujours pas de pouvoir aimer autant.

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